LilyWhiteAptitude

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Mardi 2 novembre 2010 à 11:29

 

« Ces mots, ces mélodies. » 



Je me rappelle, ces matins froids d'hiver, lorsque je me levais pour aller au collège. 

 

Je me sentais si vide et seule, à l'époque. J'en garde une image très grise. Les souvenirs auraient-ils des couleurs ?

 

Mon dieu, qu'est-ce que j'ai évolué. Qu'est-ce que j'ai changé. 

 

Je regarde cette jeune fille comme on regarde un vestige ancien. Elle me fascine mais me semble tellement... Intemporelle.  Etrangère et familière à la fois.

 

Et ces petits matins qui se suivaient, se succédaient dans un rythme imperceptible pour moi, à cette époque. 

 

Je ne peux que sourire. La vie, c'est merveilleux. Imprévu. Tout est bon à prendre. Tout est expérience.

 

Viens à moi, empirisme éternel. 

 

 

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"Je sors de ce coffre poussiéreux qu'est ma mémoire tous ces sentiments anciens, toute cette nostalgie pure, inutile, et tellement belle par sa tristesse."

 

 



Lundi 1er novembre 2010 à 19:09

 Horriblement envie de créer. Plein de projets, peu de temps. Horrible situation. 

Bon, les études d'abord. Puis le taff. Puis le plaisir. Allions tout ça. Le plaisir de travailler pour les études. Ha ha.

Bonne soirée à tous.

Mercredi 27 octobre 2010 à 22:48

 Ouais, ce soir, petit coup de blues. 

 

 

 

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De toute façon, ce qui doit arriver arrivera. 

Et puis, alors ? 

Alors, on verra.

 

Mercredi 27 octobre 2010 à 22:15

 

 

 

 Chaque existence est une tragédie. 

 

Dans le fond, si on réfléchit bien, ce n'est même pas pessimiste de penser ainsi. La vie, c'est triste. On ne fait que se relever après chaque chute. Mais grimpe-t-on vraiment ? Est-ce que nous ne sommes pas condamnés à garder la tête hors de l'eau sans jamais apercevoir la terre ferme ? On aime, et quand on aime on accepte de souffrir. Quel masochisme. Donc, on souffre, on pleure, on se plaint, on veut s'en sortir. On s'essouffle. Quand on finit par s'en sortir, on replonge. On n'est jamais satisfaits de ce qu'on a. Il nous en faut toujours plus. Toujours plus de bonheur, toujours plus de souffrances. 

On rencontre quelqu'un, on s'attache, on l'aime, on le perd. 


Et si ce n'est pas l'amour qui nous sépare un jour,
ce sera la mort.

 


 

 

 

Mardi 26 octobre 2010 à 19:59

 
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Aucun signe inquiétant à l'horizon.

Je dois être sur le bon chemin.

Nous verrons demain.

Marchons encore, puis dormons un peu.

 

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